Fraise et chocolat de Aurélia Aurita
Mantaray par Siouxsie
Dead like me créé par Bryan Fuller avec Ellen Muth et Mandy Patinkin
BD:
Fraise et chocolat de Aurélia Aurita
Fraise et chocolat est une BD érotique qui raconte les premières semaines d’une relation amoureuse entre une dessinatrice française d’origine asiatique et un dessinateur français qui travaille au japon. A vrai dire, essentiellement, pendant ces quelques semaines, ils baisent. C’est un récit autobiographique, arrangé comme tout bon récit érotique J, dans lequel Chenga, l’héroïne, va s’interroger sur la nature de la passion qu’elle éprouve pour Olivier, ce que ça lui fait d’être amoureuse, de se sentir dépendante de lui, de choisir ou pas de vivre avec lui, etc. mais tout en gardant des dialogues légers.
La fraîcheur des dessins, l’humour rendent l’histoire sympa et pas répétitive ;-). Du sexe ludique avec des personnages sympathiques, ça donne une histoire pleine de tendresse et finalement assez mignonne.
Joann Sfar lui a fait une très chouette préface que vous pouvez découvrir ici :
et si vous voulez voir quelques pages de cette BD, c’est ici.
Musique :
Mantaray par Siouxsie
Siouxsie, du temps où elle était avec les Banshees, était la fondatrice d’un groupe punk légendaire qui inspira des gens aussi variés que Robert Smith (qui fut son guitariste avant de faire The Cure), Morissey, Garbage, etc.
Moins punk, plus pop et toujours très rock, Siouxsie revient avec un album sacrément énergique, une voix formidable, bref, cet album nous montre qu’elle fait bien toujours partie de ce que le rock anglais fait de mieux.
Je ne sais pas quoi vous dire de plus, sinon de l’écouter.
Série :
Dead like me créé par Bryan Fuller avec Ellen Muth et Mandy Patinkin
Georgia (dite : George) meurt à 18 ans, heurtée la lunette des toilettes de la station MIR. Mais au lieu de disparaître, elle devient une faucheuse. Elle fait partie d’un groupe de faucheurs qui comprend : Roxie, une flic « énergique » à l’humour pincée, Mason, un anglais looser alcolo et drogué, mais bizarrement touchant, Daisy, une starlette de l’époque d’Eroll Flynn qui continue à jouer les charmeuses égoïstes et Rube, le chef du groupe, mystérieux et pince sans rire, qui distribue des post-it avec dessus écrit le nom des personnes qui vont mourir. Si la première saison était lente et parfois un peu morne quoique agréable, la deuxième est vraiment très bien, on s’attache davantage aux personnages… Un certain humour, noir bien sûr, un scénario imaginatif… Bref, je regrette bien que cette série se soit arrêtée là. Apparemment, un film va être tourné d’après la série, malheureusement sans Rube. Espérons que ce film redonne vie à la série…
Du chat…
Je me suis rendue compte que plus je parle de mon chat, plus j’ai de commentaires, encore plus que quand je parlais de foot : les gens me parlent de leur chat. Alors, je continue. Vous vous souvenez de ma copine qui disait que la lectrice qui disait que l’hiver serait rude car son chat s’était transformé en lama ?
Notez que l’hiver a déjà été pas mal. Voilà donc une photo du lama, en attendant d’autres photos de Yoshi…
Voilà une BD qui retrace bien ma relation avec mon chat… mais moi, c’est pas un apple. (Malheureusement, je ne retrouve pas l’auteur de cette bd).
Et pour finir : un blog sur tout tout tout Hello Kitty
3 réponses à Kro variée avec un peu de chat