Kro avec une porte qui ferme bien

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Sur le territoire helvétique, la présence d’abris anti-atomiques est obligatoire dans les zones habitées depuis 1971.

«Chaque habitant doit disposer d’une place protégée dans un abri situé à proximité de son lieu d’habitation et atteignable dans un délai raisonnable». «Lors de la construction de maisons d’habitation, de homes et d’hôpitaux, les propriétaires d’immeubles doivent réaliser des abris, les équiper et, par la suite, les entretenir», imposent les articles 45 et 46 de la loi fédérale sur la protection de la population et sur la protection civile.

Le slogan des années 60 disait : « la neutralité ne protège pas de la radioactivité ».

On trouve effectivement un tel abri dans la majeure partie des édifices construits dès les années 60 (la première base légale en ce sens date du 4 octobre 1963).

Depuis que je travaille en Suisse, je n’avais pas encore eu l’occasion de visiter un abri. C’est chose faite.

En 1995, une demande de suppression de la loi a été déposée au Parlement Suisse et acceptée par le Conseil national le 13 juin 2006 contre l’avis du Gouvernement.

Après avoir analysé la situation, le Gouvernement est arrivé à la conclusion que de tels abris conservent leur utilité, non seulement en cas de conflit armé, mais aussi afin de faire face à d’éventuelles attaques terroristes à l’arme nucléaire, à des incidents chimiques, ou encore des catastrophes naturelles.

Dans les faits, l’installation d’un abri anti-atomique dans une nouvelle construction permet de bénéficier de subventions de l’Etat. Le maître de l’ouvrage peut néanmoins se soustraire à cette obligation à condition de verser une contribution de 1’500 francs pour chaque place de protection de substitution dans un abri public (deux places par trois pièces d’une résidence).

En 2006, la Suisse comptait quelque 300’000 refuges aménagés dans des habitations, institutions et hôpitaux, de même que 5’100 abris publics pour un total de 8,6 millions de places, soit un degré de couverture égal à 114% de la population.

Je me demande s’ils acceptent les frontaliers…

Diversion de Glenn Ficarra et John Regua avec Will Smith et Margot Robbie

Enfant 44 de Daniel Espinosa avec Tom Hardy, Noomi Rapace, Gary Oldman, Vincent Cassel et Charle Dance

311253.jpg-r_160_240-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx-2015-04-20-00-00.jpgDiversion de Glenn Ficarra et John Regua avec Will Smith et Margot Robbie

Nicky (Will Smith) est un arnaqueur professionnel. Pas du genre à braquer des banques pour faire le casse du siècle : non de petites arnaques, pick-pocket principalement, en détournant l’attention des gens : un membre de l’équipe détourne l’attention, le deuxième détrousse et passe le larcin au 3e qui se sauve avec.

Jess (Margot Robbie) est voleuse débutante. Elle essaie de piéger Nicky, le prenant pour un pigeon de base. Bien sûr, ça ne marche pas, mais ils se plaisent. Elle souhaite qu’il lui apprenne le métier, ce qu’il va faire.

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C’est un film léger et inoffensif. puma 2018 pas cher Will Smith est beau et se balade torse-nu autant que possible. Margot Robbie est belle, elle porte le maillot de bain comme personne et pour distraire les pigeons mâles, elle est redoutable.

Les rebondissements de l’histoire sont moins attendus que prévus, le scénario m’a même parfois surpris. Si si. C’est plus que ce que j’en demandais à ce film qui fait passer un bon moment.

574925.jpg-r_160_240-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx-2015-04-20-00-00.jpgEnfant 44 de Daniel Espinosa avec Tom Hardy, Noomi Rapace, Gary Oldman, Vincent Cassel et Charle Dance

Hiver 1952, Moscou. Leo Demidov est un brillant agent de la police secrète soviétique, promis à un grand avenir au sein du Parti. puma chaussure 2018 Lorsque le corps d’un enfant est retrouvé sur une voie ferrée, il est chargé de classer l’affaire. chaussure Puma Il s’agit d’un accident, Staline ayant décrété que le crime ne pouvait exister dans le parfait Etat communiste. Mais peu à peu, le doute s’installe dans l’esprit de Léo et il découvre que d’autres enfants ont été victimes « d’accidents » similaires. Tombé en disgrâce, soupçonné de trahison, Léo est contraint à l’exil avec sa femme, Raïssa.

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Je l’avoue, je ne me suis pas foulée sur le résumé, mais mon excuse est que le film ne m’a pas plus. chaussures puma 2018 Il y a deux histoires emmêlés : la vie sous la fin du régime stalinien devenu totalement paranoïaque, et une histoire de serial killer tueur d’enfant.

Le problème, c’est le l’histoire est menée avec de très gros sabots, en en faisant des tonnes dans la volonté de reconstitution soviétique. bottes timberland pas cher Tout est gris, pauvre, misérable… On ne cesse de descendre de pire en pire. moncler soldes Non pas que je prétende que Staline était un visionnaire incompris, mais les ressorts scénaristiques et visuels pour nous faire appréhender la dictature sont grossiers, caricaturaux et finalement, me semblent aussi subtiles que les films de propagande qui caricaturaient l’occident qui étaient réalisés sous le régime soviétique.

Emmêlé à cette histoire politique sans finesse, il y a la trame du serial killer, finalement assez accessoirement, alors que la bande annonce donnait à penser que c’était le centre du film.

Les acteurs font en général de leur mieux… Noomi Rapace est largement sous-employée, en particulier quand elle passe son temps à appeler « Léo » ou à pleurer. Le couple aurait pu donner une histoire intéressante.

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