Séville, 4e jour


Le running gag nocturne de l’espagnol ivre nous a de nouveau frappés. Autant on a réussi à repousser convenablement les moustiques, autant on aurait dû aussi mettre du produit contre les espagnols chanteurs bourrés.

Le taxi nous fait traverser en vitesse une ville qui dort encore à 8h du matin, et elle a bien de la chance. Il faut féliciter la dextérité des chauffeurs qui faufilent de gros taxis dans des ruelles incroyables, où il ne doit pas rester plus de 2 cm entre les portières et les murs.

A l’aéroport les compagnies aériennes s’appliquent à nous faire tout oublier de la magie de prendre l’avion à coup d’attente, de queue interminable, de contrôles de sécurité bêtement parano et de règlements stupides.

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