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La légende de Zorro avec Antonio Banderas et Catherine Zeta-Johns

Le chat du rabbin : Le paradis terrestre

Les noces funèbres, de Tim Burton

La légende de Zorro avec Antonio Banderas et Catherine Zeta-Johns

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Un cavalieeeeeer… qui surgit hors de la nuit, tadada…
Suite du masque de Zorro, avec les mêmes, voici la légende de Zorro.
La Californie vote pour entrer dans l’Union américaine. Enfin, la paix, la sécurité, la liberté, le bonheur, bref, Zorro va pouvoir raccrocher le masque comme il l’a promis… Mais voilà, Don Alejandro ne peut pas se passer de Zorro. Alors, Elena, sa femme, se dit qu’elle pourra se passer de Don Alejandro. Or, voici qu’un danger s’approche de la Californie… un français…

Je suis allée voir ce film parce que Leirnette avait été accroché par la bande annonce, une fille dans une belle robe qui se bat à l’épée, un homme avec une cape et un super cheval, des cascades et des flammes… bref, c’est accrocheur.
Au premier degré, le film est amusant, bien fait, des aventures incroyables, de l’humour, une belle fille, un beau mec, de l’humour… pourquoi pas.

Au deuxième degré, il y a une dimension assez risible et ridicule. Le méchant est un Français, faisant partie d’une société secrète (les chevaliers d’Aragon) qui vient jeter de l’huile sur le feu de la prochaine guerre civile américaine (en ce mettant bien sûr du côté des confédérés) pour que le pays se déchire durablement afin d’assurer la suprématie de l’Europe sur les Etats-Unis.

Alors, évidement, on va dire que ça fait un beau bizarre et un peu ridicule. Bon, ya d’étonnantes cascades à cheval.

Le chat du rabbin : Le paradis terrestre

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Ce tome s’adresse surtout au Malka des Lions, qui n’était pas un personnage qui m’intéressait beaucoup jusque là, mais qui devient sympathique. Le Malka est surtout un merveilleux conteur. On le suit à travers ses histoires de désert, d’amitié entre les peuples d’Algérie, avec comme témoins le chat du rabbin et le lion du Malka. Le Malka est une légende du désert. Une légende peut-être vieillir ? Peut-elle mourir comme n’importe qui ?
La BD est toujours sympa. Je maintiens que je la trouvais plus rigolote à l’époque ou le chat parlait avec le rabbin. On ne retrouve pas cette fantaisie mais l’histoire est toujours très agréable. Ce tome est peut-être le plus poétique.

Les noces funèbres, de Tim Burton

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Tim Burton retrouve l’esthétique de l’étrange noël de Mr Jack pour un film d’animation avec Johnny Depp et Elena Bonham Carter. Victor, jeune homme palot et maigrichon aux traits de Johnny Depp va devoir épouser Victoria. La famille de Victoria est noble et fauchée. Chez Victor, on est riche, mais poissonnier. Alors, c’est une affaire rentable.
Emily est une jeune fille introvertie et timide, finalement pas mal assorti à Victor. D’ailleurs, quand leurs parents les présentent enfin, c’est le coup de foudre.
Seulement voilà, Victor bafouille au moment de la répétition, on l’envoie apprendre son texte… Il part répéter en forêt et voilà qu’en prononçant ses vœux, son alliance tombe, passe autour d’un brindille… qui s’avère être le doigt d’une jeune future marié, assassiné peu avant son mariage. Emily, la morte au trait d’Elena Bonham Carter, emmène Victor au pays des morts, puisqu’ils sont mariés…
Le Pays des morts s’avère bien plus drôle et coloré que le monde des vivants, où tout le monde est sinistre, funèbre, étriqué (les parents de Victor et Victoria en tête). Chez les morts, on danse, on boit, on fait la fête. Emily a le tibia bien plus sensuel que Victoria, elle a plus de personnalité, bref, comme lui diront ses amis, à par la respiration, cette Victoria n’a rien d’intéressant.

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C’est aussi bien fait que L’étrange noël de Mr Jack. La musique est également de Dany Elfman, mais elle est moins réussi, tout de même. C’est drôle, inventif, bref, ça plait à tout âge ou presque et ça fait même pas peur.

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