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Superman returns de Brian Singer avec Kevin Spacey Brandon Routh et Kate Bosworth

Nos voisins les hommes, film d’animation de l’équipe Dreamworks

6 feet under, la Ve saison

Superman returns de Brian Singer avec Kevin Spacey, Brandon Routh et Kate Bosworth

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C’est un avion ? c’est un oiseau ? c’est un hélicoptère ?
Non, c’est Superman, qui revient, avec la mode du film de super héros.
Superman est allé faire un tour sur Krypton, sa planète natale. Ça lui a pris 5 ans. Effectivement, là bas, tout était détruit.
De retour, il tente de reprendre sa vie de super héros d’avant, et en particulier, de retrouver sa place auprès de Loïs Lane… mais en son absence, elle a eu un enfant et s’est trouvé un compagnon, un gentil aviateur.
Quant à Lex Luthor, il n’a pas été en prison, pour vice de procédure : Superman ne s’est pas présenté pour témoigner. Il peut reprendre son activité de génie du mal.

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Superman, c’est quand même pas mal kitsch, comme histoire de super héros. Il est invincible, suprafort, il porte son slip au dessus de son collant et il répond au fantasme de tout ado freluquet et bredouillant devant les filles : « Marrez-vous, mais donnez moi donc une cabine téléphonique, vous allez voir. »
Brian Singer est quelqu’un qui fait plutôt du bon boulot, en relooking de super héros. Voyez les X-mens. Il faut reconnaître qu’avec Superman, c’était plus dur.
D’ailleurs, ce n’est qu’en parti réussi. De toute manière, je pense que c’était infaisable sans trahir l’esprit. Le costume est ridicule et Superman… ben, que vous dire… c’est Superman. Il a eu l’intelligence de le faire jouer par un beau gosse musclé, symétrique et totalement inconnu. Il reste donc lisse, comme avant.
En revanche, dans tout ce qu’il s’autorise un peu au-delà du mythe, il est bien plus rigolo. Lex Luthor, joué par Kevin Spacey, est très réussi. Le scénario est pas mal du tout (et pourtant, avec un type invincible tout le temps jusque… « Argh, Kryptonic, Kryptonic… », c’était pas évident de surprendre ou d’intéresser. Et le côté décor futuriste des années 50, j’aime bien.
Une paire de remarques sont assez drôles…. Finalement, un bon moment distrayant avec des effets sympas.

Nos voisins les hommes, film d’animation de l’équipe Dreamworks

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Verne, la tortue et ses amis se réveille d’hibernation. Quelque chose de bizarre est arrivée dans leur forêt, elle est bordée par une haie immense, qui semble infinie. Et leur réserve de nourriture se trouve de l’autre côté… avec un quartier résidentiel.
Sur ce, arrive Riton un raton laveur escroc. Suite à un différent avec un ours, il a 6 jours pour lui collecter un énorme tas de nourriture.
Il va tenter de mettre à profit la naïveté des bestioles pour qu’elles l’aident à tout voler aux humains qui habitent derrière la haie.

Je vais vous dire, je n’étais pas motivée. J’y suis quand même surtout allée parce que la salle était climatisée. J’avais peur que ça fasse quand même déjà vu. Et je me suis bien amusée. J’ai même franchement ri.

6 feet under, la Ve saison

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C’est pas facile de finir une série convenablement, de sorte de dire : ayé, cette fois, c’est fini fini.
Celle là s’en sort vraiment très bien. 6’ under, c’est une famille de croque-mort, à la vie franchement compliquée qui tente de trouver des solutions pour avoir moins peur de la mort, mener leur vie tout de même et être heureux.
Il y a Nate, le beau gosse qui voulait faire tout sauf croque-mort et qui se retrouve toujours à tenter de faire les choses au mieux, sans savoir ce qu’il veut vraiment. Son frère, David, gay en couple et qui veut avoir un enfant, sa jeune soeur Claire, qui veut être artiste mais qui rame beaucoup.

Si les 2 premières saisons étaient à mon avis les meilleurs, si la 4e est bien molle et si la 5e démarre assez mou aussi, elle fait une excellente conclusion à cette série résolument originale et aux personnages attachants et complexe.

Et pour finir, hier, c’était un grand jour pour sauter

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