Niourk 2 : Ellis Island

Si pour moi, c’était le pont de Brooklyn, pour Elise, c’était assurément la statue de la liberté qui symbolisait NY. On la voit d’un peu partout, depuis les rives de l’Hudson à Brooklyn, mais c’est autre chose que d’aller la voir de près. Bien sûr, en tant que monument ultra-célèbre, on peut s’attendre à y voir du monde. basket timberland D’ailleurs, il n’y avait plus de place pour monter dans le piédestal (et voir le musée de la statue) et encore moins de place pour aller dans la couronne, mais on n’y tenait pas particulièrement. puma sneakers pas cher Pour prendre le bateau, la sécurité à l’embarquement (de type aéroport) peut prendre 90 min (tiens, ça me rappelle l’immigration à l’aéroport de JFK… Faut dire qu’on s’est posé au 15e anniversaire du 9/11). Profitant de la puissance du décalage horaire, on est arrivée pour le bateau de 9h et on est passée tout de suite. Nos vacances en septembre, même si elles ne sont pas très pratiques par rapport à la rentrée universitaire, sont à une très bonne période : très beau temps, pas tellement de touristes, peu de gamins (ils sont à l’école), 15% de remise pour les profs chez Brooklyn industries ! ; Le plus remarquable, en prenant le bateau pour Liberty Island, c’est la vue magnifique sur la Skyline de NY. bottes timberland On pourrait la prendre en photo indéfiniment. Quant à la Statue, à vrai dire, il n’y a pas grand chose à ajouter : elle est au milieu de son Île, elle regarde l’Est. On peut faire aussi des méta-photos de la statue de la liberté en photographiant les touristes qui font des selfies, qui font mine de la tenir en main, ou de tenir la flamme, qui sautent de joie devant, à 1, 2, 3 !!! Non, on la refait. La satue est une création de française de Bartholdi sur structure métallique de Gustave Eiffel. Bartholdi s’est un peu emballé dans les proportions (et heureusement que ses problèmes d’armature ont finalement été résolus par Eiffel), sa statue devait être inaugurée pour l’anniversaire de l’indépendance en 1876… Ce fut fait finalement en 1886… Un peu hors délais. ugg pas cher femme En tant que françaises, on espérait une entrée VIP mais malheureusement, ça ne marche pas comme ça. De là, nous avons repris le bateau pour Ellis Island, l’Ile de l’immigration. magasin uggs pas cher en ligne Ayant fait l’Irlande quelques semaines plus tôt, j’aurai vu finalement les 2 bouts de la migration irlandaise. La salle des migrants est moins impressionnante que je ne le pensais. Vide, on a du mal à imaginer les rangs de voyageurs, pauvres, qui avaient déjà fait une grande traversée et qui se demandaient s’ils seraient ou non admis, après des jours d’attente. moncler paris Des photos sont là pour nous faire prendre conscience de l’ambiance, mais comme la salle est belle et claire, avec les carreaux du plafond et les lustres, c’est difficile à imaginer. doudoune moncler pas cher Le musée est bien aménagé, expliquant les différentes étapes de l’admission, jusqu’à l’arrivée dans cette salle où on procédait à des vérifications, afin d’éviter les indigents (autant dire qu’après une telle traversée, surtout quand on est un irlandais affamé, c’est pas gagné), les criminels, les anarchistes et les polygames, associés à des batteries de tests médicaux plus ou moins humiliants. L’intérêt de ce musée, c’est que même s’il est patriotique (évidemment, faut s’y attendre), il n’est pas aveugle sur la « liberté offerte aux pauvres de l’Europe ». On voyage à travers les époques, depuis les premiers colons, très pieux, en provenance de Hollande pour former la New Amsterdam (premier nom de NY), avec les témoignages des pélerins remerciant Dieu pour la traversée sans encombre et la beauté de la mer immense (quoiqu’un peu trop immense). Puis, les Irlandais et le reste de l’Europe… Jusqu’à l’immigration légale aujourd’hui avec des témoignages de personnes émerveillées de réaliser leur rêve américain… Et des déçus. Puis, des panneaux présentent les débats actuels sur l’immigration et aussi sur la situation de l’immigration illégale. Dans la dernière salle, les américains peuvent chercher la généalogie de leur migration. Ici, les migrations françaises et suisses. En reprenant le bateau pour rentrer à NY, on pense tout de même à tous les migrants qui finalement ont réussi à voir de dos la Statue de la liberté, preuve qu’ils étaient en route vers Manhattan.

Ce contenu a été publié dans Tourisme, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

1 réponse à Niourk 2 : Ellis Island

Les commentaires sont fermés.