BD: Manu Larcenet : Un combat ordinaire Tome II
Lain
Fisher king de Terry Gillian avec Robin Williams et Jeff Bridges
BD: Manu Larcenet : Un combat ordinaire Tome II
Je suis sponsorisée en BD par mes amis.
J’avais récupéré en avant-première le Tome I et voilà qu’à peine sorti, un autre m’achète le Tome II
C’est la suite des aventures du photographe dépressif, en proie à des crises d’angoisse. Il a enfin réussi à vivre avec sa copine vétérinaire, c’est pas pour autant que la vie est simple pour lui. Il s’est remis à la photo, c’est déjà ça, mais voilà qu’il photographie les ouvriers du chantier naval de son père. Mais ça intéresse qui, enfin, ces ouvriers ? Les morts en Somalie, c’était bien mieux.
C’est toujours aussi bien, drôle par moment (je vous conseille la tête du jeune père réveillé en plein nuit qui arrive avec sa gamine hurlante dans bras en disant : c’est la quelle heure, l’ouverture de la DDASS ?).
C’est c’est aussi vraiment triste par moment, tendre et subtile.
Bref, son chat du tome I me manque mais sa copine est très chouette.
Lisez le, lisez le !
Lain
Ça y est, enfin, j’ai fini Lain.
Pour ceux et celles qui n’auraient malencontreusement pas tout suivi, Lain, c’est cette série japonaise d’animation taillée sur mesure pour les nerd et autres computer geek.
Je remercie bien sincèrement Mnl de m’avoir spoilé l’épisode n°11, bravo, tu reçois le spoil d’or.
Alors, j’aime vraiment beaucoup de chose dans Lain :
– les dessins déjà et aussi les jeux sur les images, importation d’images réelles retravaillées, redessinées, jeu de couleur
– la narration, qu’il fait qu’il vaut mieux être à jeun, réveillé et en pleine forme pour regarder (encore que sous psychotropes, on est peut être plus en phase)
– et l’histoire, qui se tient (malgré la apparence), avec une vraie fin (oui, RV, oui, une vraie fin) avec une explication fournie qui est pas mal du tout.
Bref je suis fan et je mets lain partout au fond de mes écrans.
Fisher king de Terry Gillian avec Robin Williams et Jeff Bridges
C’est le seul film que je suis allée voir de moi même 2x au cinéma à une semaine d’intervalle. Si vous dire si je l’avais aimé à l’époque. A le revoir, je reconnais que je m’en souviens bien et que j’aime toujours.
Jack Lucas est un animateur radio. En 5 min d’intro du film, on arrive à nous faire comprendre à quel point c’est un connard égocentrique totalement dépourvu de la moindre espèce d’empathie.
Et un jour, arrive un drame : alors qu’il est au sommet de sa gloire, il pousse par pure inconsistance un dingue à prendre une arme et tirer partout dans un bar à la mode. 7 morts. Jack laisse tout tomber et sombre. Et voilà que 3 ans plus tard, alors qu’ils sont à se mettre dans le fleuve, il croise un pauvre type Parry, clochard et largement dérangé, qui était dans ce bar. Sa femme est morte et il a perdu la raison.
Jack imagine alors qu’il trouvera sa rédemption en l’aidant.
Je sais pas bien pourquoi j’aime ce film. Les 2 acteurs principaux sont bons, le chevalier rouge du cauchemar de Parry est impressionnant. Le film est légèrement loufoque par ses dialogues et situations incongrus et le personnage de Parry est très réussi.
Bref, je ne sais pas bien pourquoi, c’est un film qui me touche.
Pour finir :
pour les fans des jeux de Yeti :
http://yetisports.org/e_playonline.php
Et enfin : une curiosité : une femme qui fait de la moto autour du site de Tchernobyl
http://www.kiddofspeed.com/chapter1.html
«La notion de passoire est indépendante de la notion de trou… et réciproquement»
Maxime shadok