Ma stagiaire du printemps dernier vient de m’envoyer un exemplaire de sa thèse, qu’elle a soutenue avec succès lundi dernier.
En la feuilletant (je n’ai pas encore eu le temps de la lire), je n’ai pas manqué de remarquer une fois de plus combien les thésards d’aujourd’hui se lâchent dans leurs pages de dédicaces et en impriment des tartines.
Quand je pense que les miennes, au-delà des inévitables formules compassées destinées aux membres du jury, tenaient en quatre lignes…
Mais il est vrai que j’avais pour ma part réservé à une vingtaine de privilégiés une édition de luxe numérotée, avec (outre la dédicace manuscrite personnalisée) une couverture de meilleure qualité, et toute une section supplémentaire à la fin.