C’est en gros le sentiment que m’a donné la lecture d’un msg de mon (plus pour très longtemps) chef, suite au fait que je viens de poser mon reliquat de congés d’un bloc, ce qui va amener mon adjoint et suppléant à devoir assurer l’interim pendant presque deux semaines et trois jours.
Et l’autre de me demander si mon adjoint va être capable d’assurer une suppléance aussi longue.
Eh mec, tous les ans quand je me barre trois semaines consécutives l’été, personne ne s’est jamais demandé s’il était capable de gérer la situation.
Pas même l’année dernière, où j’ai enchaîné sur une semaine de formation continue en sortie de mes trois semaines de repos estival…
Y a vraiment des gens qui n’ont rien d’autre à faire que de poser des questions idiotes. Mais à mon avis, il n’avait pas réalisé la quantité de jours qu’il me restait à poser, il comptait me coller des trucs à faire juste avant mon départ, et déjà que j’ai catégoriquement refusé de participer à ses réunions prévues pour mon dernier jour ici, ça doit l’agacer encore un peu plus.
Je m’attends à ce qu’il me fasse chier avec la « journée de solidarité » (solidarité avec qui ? les patrons ?) du premier juin, et qu’il me demande de poser un jour de congés au lieu d’une récupération horaire.
Essaie toujours mec. J’ai suffisamment d’heures d’avance pour me permettre de demander une petite récup’ horaire, et si tu veux jouer au con… je peux aussi poser mes congés différemment. Genre, par demies journées.
Ce qui pourrait se traduire de la façon suivante : je viens, je pointe, je dépointe. Le manquant, ça sera déduit de ma montagne d’heures sup’ bénévoles. Et moi, ça me double mes congés restants.
J’espère quand même ne pas avoir besoin d’en arriver à ce genre d’attitudes, qui sont quand même étrangères à ma façon de travailler.