L’accident de ce matin sera dans le journal de demain. Je viens de voir l’article en ligne tout à l’heure.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que, si dans les grandes lignes c’est conforme à la réalité, il est loin d’être exempt d’erreurs factuelles…
Par exemple, cette fois-ci, les carcasses en frais ne sont plus des pieds de porc, certes, mais la journaliste affirme qu’elles étaient congelées.
Ou encore, que le camion venait de charger ; alors qu’il avait déjà parcouru « quelques » centaines de kilomètres avant de venir se vautrer lamentablement ici…
Par exemple.
Ça m’incite à prendre encore plus avec des pincettes ce que je lis dans les pages régionales du canard.