Que les entorses et libertés prises avec la loi par un nabot surexcité dans un costume présidentiel trop grand pour lui (non, je ne parle pas de dobeuliou) aient l’honneur des pages du Canard enchaîné, il n’y a rien d’étonnant à ça.
Mais qu’on en parle jusque sur un site américain qui n’est pas particulièrement spécialisé dans ce genre d’infos, c’est tout de suite moins banal.
Et ça en dit long sur les profondeurs où ledit nabot enfonce le pays.