Rentrant du boulot tout à l’heure en début d’aprème, je trouve un avis de passage de Chronopost.
Mais cette fois, au lieu de m’annoncer que je n’ai plus qu’à me rendre bien tranquillement au bureau de poste, muni de l’avis et d’une pièce d’identité, pour retirer le colis ou la lettre (je ne sais pas ce que c’est, même si j’ai ma petite idée), on m’annonce que le livreur (ou la livreuse) se représentera le 25/11/09 dans la journée.
Le 25 novembre, c’est-à-dire le jour même.
« Fort bien », me dis-je. « Je vais rester à la maison cet aprème, comme ça je serai là quand il repassera. »
Il est vingt heures passées, je doute fort qu’il passe aujourd’hui.
Je présume que le cirque va recommencer demain, passage pendant que je suis au boulot, hypothétique repassage annoncé dans la journée…
Et au bout de quelques jours, je pourrai eeenfin aller chercher mon colis (car c’en est un, c’est sûr, mon instinct n’me trompe pas) à la poste.
Ce que j’aurais pu faire dès demain si le livreur avait eu le bon sens de le déposer là-bas en ne m’ayant pas trouvé ce matin.
(remarquez, il pourrait être encore plus neuneu, et le rapporter à l’agence Chronopost, m’obligeant à me taper une heure de route pour aller le chercher, et autant pour revenir… on verra)
Je pense que par les temps qui courent, il y a du souci à se faire quant à l’avenir de la poste, ou plus précisément, quant à l’avenir du service qu’assurait jusqu’à présent la poste.