L’annonce alarmante du GIEC (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat) selon laquelle les glaciers himalayens auraient quasiment disparu à l’horizon 2035 serait finalement erronée : il faudrait lire 2350.
D’un côté, c’est tant mieux, ça nous laisse un peu de répit dans cette course folle et autodestructrice en direction du mur dans laquelle l’humanité s’est lancée.
Mais d’un autre côté, ça va servir d’argument pour attendre 315 ans de plus avant de commencer à se bouger mollement le cul pour agir pour la planète.
Alors que c’est immédiatement qu’il faut agir, et fort.
Même s’il est probablement déjà trop tard.