Comme je déclarais tout à l’heure à mes collègues que quand je suis parti déjeuner, il tombait une espèce de petite saloperie et que la neige n’était sans doute pas loin, vu qu’il gelait toujours, l’une d’elles s’est exclamée, croyant qu’elle allait retrouver son pare-brise gelé en partant :
« Oh non ! J’ai plus de pschit pschit dans ma voiture… »
Ce à quoi une autre lui a rétorqué :
« Pshitt orange ou Pshitt citron ? »
Même sans le climat de nostalgie suscité par la récente publication de l’interview de Didier Guiserix sur les années Casus Belli, il était difficile de ne pas penser à une certaine bande dessinée…