robert pandraud a cassé sa pipe bien tranquillement ce matin.
Ça fait plus de vingt-trois ans que Malik Oussékine a été massacré par des voyous en uniforme, le 6 décembre 1986.
Ça fait plus de vingt-trois ans que pandraud, au lieu d’assumer les responsabilités de la bavure commise par ses sbires, a craché sur sa mémoire en déclarant « si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con la nuit ».
Ce qui me dégoûte, c’est que cette ordure, qui à ma connaissance n’a jamais exprimé de remords pour ces propos (ou alors d’une si petite voix que personne ne les a entendus), va avoir des funérailles nationales et que les politocards vont se succéder au micro pour exprimer leur tristesse et leur admiration pour lui.
Pour ma part, je déposerais bien une gerbe sur son cercueil, mais je n’ai pas envie de vomir.
Bien dit.
Lasserpe se charge de lui décorer sa tombe : http://lasserpe.blogs.sudouest.com/archive/2010/02/24/lasserpe-la-mort-du-pandore.html