Ce soir, en fermant les volets, j’ai eu la surprise de voir bouger la terre du potager.
Sur une longueur de plus d’un mètre, elle a été remuée par une bestiole dont j’ai attendu qu’elle pointe son nez en surface mais qui ne s’est jamais montrée.
Dommage… Il pleuvait, il ventait et il faisait frais, sinon je serais sorti pour voir de plus près s’il s’agissait bien d’une taupe. Ça fait bien une demi-douzaine d’années que je n’ai plus eu l’occasion d’en voir une.