Je n’ai pas particulièrement d’intérêt pour les livres dont vous zêtes le zéro, mais j’en ai « lu » quelques-uns à l’époque où ils étaient « à la mode », et j’en ai même une demi-douzaine dans ma bibliothèque, dont Le labyrinthe de la mort, qu’à l’époque j’avais assez apprécié (en dehors du fait que, comme bien souvent avec ce genre de bouquins, il s’agit d’un empilage incohérent de monstres dans des salles successives).
Mais il n’y a pas que dans son agencement que le Labyrinthe pèche : son principe même tient difficilement debout.
J’ai en tous cas bien apprécié l’explication qu’en fait Coopdevil.
(P.S. : oui, je SAIS pertinemment qu’il ne s’agit pas de JdR ; je l’ai suffisamment souvent dit et répété. Pas la peine de me faire remarquer que j’ai quand même classé ce billet dans la catégorie JdR, en raison du recyclage auquel je m’étais livré de certains aspects du bouquin vers un dungeon casse-briques (ouvertement revendiqué comme tel et en partie parodique du genre) et de l’existence du JdR Fighting Fantasy)