Que l’on puisse éprouver un sentiment de répulsion ou une phobie à l’égard d’animaux « nocifs », voire potentiellement dangereux, c’est quelque chose que je peux vaguement comprendre (même si ça m’est personnellement étranger).
Mais d’apprendre qu’une de mes collègues, pourtant d’origine agricole, avait peur des lézards même petits (au point de se renseigner pour savoir s’il existait une méthode pour les tuer), ça m’a vraiment surpris. C’est pourtant pas la petite bête qui va manger la grosse !
Surtout qu’un ou deux jours auparavant, fermant au crépuscule les volets du salon, une de ces bestioles m’est tombée sur la main dans la pénombre avant d’atterrir sur le plancher (et de se carapater ensuite je ne sais où dans la pièce… j’avais laissé la fenêtre ouverte toute la nuit, j’espère qu’il aura retrouvé la sortie). Anecdote que je me suis abstenu de lui raconter, vues les circonstances.