Ce matin en écoutant les infos, j’apprends qu’un candidat est, je cite, « plébiscité à 16 % ».
Décidément, la maîtrise (ou plus précisément, l’absence de maîtrise) de la langue française par les journalistes d’aujourd’hui est de plus en plus lamentable.
Ca vaut bien « à l’unanimité par 60% des voix » :-)