Grosse activité onirique ces derniers temps.
Je vous en ai retenu un morceau : c’était un jour avec beaucoup de boulot, pas énormément d’effectif dans l’équipe, j’étais donc particulièrement pressé d’aller prendre mon poste sur le terrain… Mais j’étais dans un amphi (probablement pas un de ceux où j’ai (le moins possible) usé mes fonds de culottes quand j’étais étudiant il y a quelques décennies, plutôt un de ceux de la structure qui assure l’essentiel de nos formations continues), et j’attendais mon tour pour passer au tableau traiter un sujet d’examen (cependant que l’un de ceux qui passaient, et qui était selon les moments du rêve, soit un lecteur (potentiel) montpelliérain, soit un pote que je n’ai pas revu depuis les classes, manquait à mes yeux d’inspiration sur un sujet intitulé Les neurotransmetteurs). Et je rongeais mon frein pendant que les examinateurs en faisaient passer d’autres avant moi, en pensant à mes collègues qui marnaient en m’attendant et ne comprenaient pas pourquoi j’étais en retard…
Je me suis réveillé avant de descendre dans l’arène et ne puis donc vous parler, ni de mon sujet, ni de ma prestation. Mais une chose est certaine (et je l’avais déjà remarqué il y a dix ou onze ans en formation pour adultes), c’est que j’étais nettement plus détendu que du temps où je passais des exams pour de vrai (et où je ne faisais déjà pas partie des plus stressés). Les profs, ça n’est (plus ou moins) impressionnant qu’un temps.