Un spéculateur britannique est actuellement en train de stocker une partie non négligeable de la production mondiale de cacao, dans le but probable de faire grimper le prix du chocolat.
Combien de temps avant qu’un petit malin n’ait la lumineuse idée de faire la même chose avec le blé ou le riz, aggravant encore un peu plus l’insécurité alimentaire d’une partie elle aussi non négligeable des habitants de notre planète (et ce, pas seulement dans les pays dits pauvres) ?
Mais ce sont là les joies du capitalisme sauvage…