J’ai une activité onirique particulièrement prolifique ces derniers temps.
La nuit dernière, par exemple, j’ai entre autres rêvé d’un film ayant pour cadre la ville dans laquelle je suis allé au lycée, mais dans une version futuriste (sans doute post-cyberpunk). Le réalisme de l’évolution des lieux et bâtiments était particulièrement bien soigné, et le film avait de bonnes critiques ; tout ça m’avait décidé à aller le voir.
Sauf que là, je me suis réveillé, et évidemment, ce film n’existe pas. Et une fois réveillé, j’ai réalisé que la désormais ancienne pharmacie qui figurait à l’angle du carrefour juste après l’un des ponts ne se trouvait en réalité pas là. Cette incohérence m’a un peu gâché le film… ou plutôt mon rêve.
Et pendant ma sieste de tout à l’heure, c’était une petite vieille qui se plaignait d’un animal venant ravager son poulailler. On pensait en priorité à un renard, peut-être à un chien errant, et pour ma part, j’excluais catégoriquement l’hypothèse du chat haret. Mais en fait, il s’agissait d’un morse (une femelle ou un jeune, je n’ai pas eu le temps de bien voir) qui se cachait dans un tunnel creusé dans la neige glacée (dont l’épaisseur atteignait environ deux ou trois mètres) au pied de la cour de la victime, et qu’une collègue et moi-même avons soudain vu surgir, s’emparer d’une poule, et se glisser rapidement à reculons dans son « terrier » (son neigier ?). Une opération de déterrage (déneigeage ?) avec chiens de sang et barres à mine se préparait quand je me suis réveillé.
J’en ai encore un autre intéressant en mémoire, mais comme il était très spécifique boulot, ça ne vaut guère le coup que j’en parle ici. Il faudra que je pense à le raconter à mes collègues demain… si je m’en souviens encore avec suffisamment de précision.
Un morse ? Pas un phoque ? Bardot peut partir en vacances :-)