Ayant commencé doucement la lecture du nouveau « Casus Belli », je suis tombé sur cette horreur en page 12 :
Un retour aux basiques en somme
Alors déjà, ça me gonfle de voir l’adjectif basique employé pour désigner autre chose qu’un pH supérieur à 7. Hélas, il y a de moins en moins de gens qui sont capables d’éviter cet anglicisme.
Mais là, on atteint des sommets (ou des profondeurs abyssales) : pourquoi aller chercher une expression aussi alambiquée (et parfaitement incorrecte), quand il aurait été si simple d’employer le bon français et de parler des bases (puisque les fondamentaux semblent désormais hors de question…).
Malheureusement (?), le texte en question n’est pas signé : ça m’empêche de savoir vers quel rédacteur incompétent pointer mon index accusateur.