Entre autres péripéties de mon déménagement d’il y a quelques mois, j’avais perdu mon mètre-ruban. C’était d’ailleurs la seule chose égarée pendant les évènements, et ce, de façon vraiment incompréhensible : on s’en était servis pour prendre des mesures le vendredi soir, et plus moyen de remettre la main dessus le samedi matin.
Du coup, j’en avais racheté un autre, mais je n’avais pas retrouvé le même modèle, et le nouveau était moins joli.
Je l’ai retrouvé cet aprème : il était tout simplement tombé au fond d’une des grosses chaussures que j’avais utilisées pour faire de la peinture, et que je n’ai ressorties que tout à l’heure pour aller (enfin) labourer mon potager… (et encore, ça a failli attendre encore quelques jours, vu qu’il s’était mis à bruiner en tout début d’aprème au moment où j’avais voulu attaquer ; heureusement que ça n’a pas duré…).