À la minute près

Pourquoi faut il que ce soit juste quand on a une grosse journée à l’usine (pour commencer le jour férié, ou chômé, on sait pas trop, enfin bref, la journée de solidarité avec le patronat) et où je dois absolument passer au bureau de poste en sortant, qu’il y a une absence dans le service pour cause d’enfant malade qui m’oblige à faire deux postes à la fois au lieu de travailler en binôme (et donc, m’empêche catégoriquement de partir avant la fin) et qu’il y a en plus des arrêts de chaîne intempestifs qui prolongent d’autant l’arrivée de cette fin ?
En faisant fissa pour partir et en allant en bagnole jusque devant le bureau de poste, j’ai quand même réussi à arriver juste avant la fermeture. Et j’ai donc pu récupérer un colis de JdR que je n’attendais pas si tôt, mais que j’aurais pu avoir samedi matin si j’avais entendu la sonnette au passage du facteur…
J’espère que le reste de la semaine sera plus calme (mais c’est pas gagné, car je serai à nouveau tout seul vendredi, pour permettre à mon adjointe de suivre une formation d’une importance cruciale).

Ce contenu a été publié dans On n'a pas des métiers faciles, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *