Daybreak – 2250 A.D.
Original title : Star Man’s Son
Andre Norton
copyright 1952 Harcourt, Brace & Co., Inc.
Ace Books, Inc
182 pages
Beyond Earth’s Gates
Lewis Padgett et C.L. Moore
copyright 1954 Ace Books, Inc
138 pages
recueil de deux romans de SF tête-bêche au format poche (doubleback), l’un post-cataclysmique, l’autre sur le thème des univers parallèlesDaybreak – 2250 A.D., qui figurait dans la biblio d’Aftermath!, est le tout premier roman de SF d’Andre Norton, paru en 1952 sous le titre Star Man’s Son. Il se passe longtemps après la Ruine. On y trouve des mutants (humains et animaux, y compris des animaux intelligents), et c’est donc plus utile comme inspi pour du Gamma World (mais qui n’aurait pas trop forcé sur les mutations, quand même) que pour du post-cata terre-à-terre comme je l’apprécie. Fors, un jeune homme accompagné d’une sorte de grosse chatte plus ou moins télépathe avec lui, a quitté son clan pour explorer le monde. Il espère revenir avec plein d’infos importantes sur des contrées non explorées, afin d’améliorer son statut parmi les siens. J’ai trouvé ça meilleur que No Night Without Stars, l’autre roman post-cata d’Andre Norton, mais c’est quand même pas le genre de post-cata qui me branche.
Beyond Earth’s Gates avait lui aussi été préalablement publié sous un autre titre, The Portal in the Picture, en 1946. Le narrateur, new-yorkais, possède un tableau qui permet d’accéder à une Terre parallèle, Malesco ; une actrice de sa connaissance franchit accidentellement le passage, et il est accusé de l’avoir tuée ; il finit à son tour par passer de l’autre côté, et essaie de la récupérer et de les ramener tous les deux là d’où ils viennent. C’est correct, mais pas extraordinaire, et puis ça a quand même un peu vieilli.
Un recueil sur lequel vous pouvez faire l’impasse.