Kro en résumé : Barb Wire

Film d’anticipation « dystopique » futur proche (1996)barbwireOn est en 2017, les États-Unis ont vécu une deuxième guerre civile et sont désormais sous le joug d’une dictature (combattue par « la résistance »), sauf la ville de Steel Harbor. La police cherche à mettre la main sur une docteure qui s’est réfugiée à Steel Harbor en espérant pouvoir y prendre l’avion pour le Canada. Tout tourne autour du personnage de Barb Wire, tenancière d’un bar – restaurant – boîte de nuit (mais également femme d’action avec des méthodes dignes des forces spéciales) qui fait passer le fric d’abord et va au plus offrant.
L’histoire aurait pu être pas mal, mais les scènes d’action, à grands renforts de flingues et d’explosions, gâchent tout.
C’est aussi en grande partie un prétexte pour montrer Pamela Anderson (et occasionnellement ses nichons siliconés, quand elle quitte le corset dans lequel elle est étroitement sanglée).
Bref, c’est pas bon, et c’est dommage, pasqu’il aurait pu y avoir un résultat intéressant, si on en avait fait autre chose que recourir à la facilité des scènes d’action à deux balles et des gros plans sur la blondasse siliconée à la mode à l’époque.

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