Ça faisait depuis le début de cette semaine que tous les soirs, en sortant du boulot, il y avait parmi les bagnoles attendant quelqu’un en stationnant n’importe comment sur et autour du parking (m’demande combien de temps il faudra attendre encore avant qu’il n’y ait un accrochage, vu que ces feignasses qui se garent au plus près ne semblent pas perturbées par le fait qu’elles gênent la sortie de tout le monde et la circulation des camions) une fille qui se garait systématiquement juste devant le chemin allant de l’entrée de l’usine audit parking, contraignant les piétons à contourner sa bagnole en marchant dans l’herbe.
Hier soir, comme il faisait beau, elle avait laissé sa vitre baissée. J’en ai donc profité pour lâcher bien fort à la collègue qui m’accompagnait :
« J’ai horreur des connards qui se garent sur les passages piétons. »
Eh bien, figurez vous que cet aprème, elle s’était garée environ un mètre plus loin… libérant donc la moitié du passage. C’est pas tout à fait ça, mais y a du mieux. Et je pense naïvement que c’est lié à ma réflexion.
N’empêche que je me demande ce que les gens comme elle ont dans la tête. Que la première fois elle n’ait pas fait gaffe, je peux l’admettre ; mais ensuite, elle a forcément vu qu’elle gênait le passage, et elle aurait dû prendre elle-même l’initiative de bouger sa caisse sans qu’on ait besoin de lui faire une réflexion (ou de le lui demander gentiment, si j’avais été suffisamment patient et bien luné).