The Thief of Baghdad
(1940)
Film mille et une nuitsCe film use et abuse des poncifs du genre (poncifs qu’il a sans doute contribué à définir). Au menu : calife de Bagdad jeune et naïf, grand vizir qui est le vrai maître de la ville (tyrannique), gamin voleur et débrouillard, magie, génie exauceur de souhaits, objets magiques (dont un tapis volant), voyages, naufrage en mer, une partie de l’histoire racontée au passé, etc…
Le grand vizir Djaffar s’empare du pouvoir par la ruse, faisant jeter le calife Ahmad en prison (en attendant son exécution le lendemain matin) ; mais ce dernier s’échappe en compagnie du jeune voleur Abou, fuit avec lui, tombe amoureux de la fille du sultan de Bassorah (que Djaffar veut absolument épouser), est rendu aveugle par la magie dudit Djaffar (qui est un puissant magicien) et cherche à retrouver et sauver la princesse.
C’est désormais vieillot, mais à part ça c’est correct. Ça reste cependant du niveau des poncifs du genre, faut pas s’attendre à beaucoup d’originalité.