Je voulais initialement vous raconter à quel point les jeunes d’aujourd’hui sont complètement déconnectés des réalités de l’existence, du travail et de la vie en société, en prenant l’exemple de la benjamine des participantes à la formation que j’ai suivie cette fin de semaine ; mais l’exemple était tellement affligeant (et n’a pas affligé que moi dans l’assistance, les stagiaires assis à côté de moi étaient tout aussi outrés ; et jusqu’au formateur lui-même je pense, dont j’ai l’impression qu’il a tenté, mais infructueusement, de dispenser un cours privé de « pédagogie de la vie » pendant la pause de l’aprème) qu’en y repensant, ça m’a découragé de vous l’exposer. Alors je vais me borner à vous expliquer que, soit Laelith est actuellement une idée un peu trop fixe pour mon propre bien, soit elle se cache vraiment partout ; car évoquant « les métiers de l’artisanat et de l’art », le formateur a eu ce commentaire :
c’est vraiment la main qui travaille.
J’ai bien sûr aussitôt pensé à la terrasse du même nom…