Petit plaisir de l’existence

Notre recrue estivale finissait son contrat aujourd’hui (enfin, hier, vue l’heure). C’était son deuxième été chez nous, et quand elle m’a rendu sa clé et son badge d’accès à l’usine, je lui ai demandé si je les lui mettais de côté pour l’année prochaine. Elle m’a fait un de ces sourires… Dans ces moments là, je regretterais presque de ne pas avoir vingt-cinq ans de moins.

Ce contenu a été publié dans Elle est pas belle, la vie ?, On n'a pas des métiers faciles, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *