Comment ça, c’est déjà fait ? On vous aura induits en erreur avec un quelconque navet imitant le genre pour surfer sur son succès…
Bref, tout ça pour vous dire quelques mots des quelques souvenirs qui me restent encore de mon rêve de la nuit dernière.
J’étais en compagnie d’Indiana Jones (qui avait les traits d’Harrison Ford à la fin des années ’80 / début des années ’90), ça se passait dans un endroit bizarre avec un étang encaissé au fond d’un vallon forestier (mais avec une sorte de lagune, et c’était ptêt sur une petite île proche de la Nouvelle-Zélande), et bien entendu, plus d’une demi-journée plus tard j’ai oublié l’essentiel des évènements…
Nous étions poursuivis par des espions étrangers, donc on traversait l’étang et on grimpait à flanc de vallon par un petit chemin forestier, jusqu’à arriver dans un bâtiment situé sur la ligne de crête (il me semble qu’il y avait aussi un passage dans le village où j’ai passé tous mes étés pendant une vingtaine d’années, village éponyme de l’étang du rêve, qui dans la réalité est beaucoup moins encaissé (pour ne pas dire qu’il ne l’est pas du tout)). En sortant du bâtiment par la porte donnant sur l’autre versant, on devait pouvoir échapper à nos poursuivants. Je réussissais à crocheter la serrure et à ouvrir la porte, qui donnait sur une palissade (ou un portail en bois plein), avec à peine la place de se faufiler entre la porte et elle, et en jetant un œil par dessus ladite palissade, je découvrais que des soldats nazis avaient monté leur camp là pour nous attendre (et nous capturer ou nous tuer). Heureusement, ils n’avaient pas vu la porte s’ouvrir, mais il était hors de question pour nous de franchir la palissade (ou d’ouvrir le portail) : ce serait se jeter dans la gueule du loup. Et d’autre part, maintenant que nous étions sortis du bâtiment, il n’était plus question d’y retourner. Il allait donc nous falloir rester baissés derrière la palissade, en attendant la nuit.
À ce moment, arrivait le long de la palissade (mais côté nazis, quoiqu’à leur opposé par rapport à nous) un archéologue d’une bonne quarantaine d’années qui était allié aux nazis (et nous aurait donc dénoncés s’il nous avait vus), mais qui était également l’idole d’Indiana Jones. Et ce c*n d’Indiana Jones n’a rien trouvé de mieux que de tendre les bras dans sa direction par dessus la palissade, en lui expliquant à quel point il l’admirait (et en faisant tomber son casque colonial, qui se brisait, quoique plus tard on devait apprendre qu’Indy l’avait récupéré intact en souvenir de son idole). Je réussissais à le faire se baisser à nouveau avant que les nazis ne nous aient repérés ; et j’ai dû me réveiller peu de temps après car je ne me souviens pas de ce qui se passait ensuite…