Pour une poignée de dollars
(1964)
Et pour quelques dollars de plus
(1965)
Le bon, la brute et le truand
(1966)
Série de trois westerns spaghetti de Sergio Leone, avec Clint Eastwood dans le rôle principal
Dans le premier, Clint Eastwood incarne un mystérieux porte-flingues qui débarque dans une petite ville mexicaine où deux familles rivales font régner la loi, et les conduit à s’entre-tuer. Dans le second, il joue un chasseur de primes qui finit par faire équipe avec un concurrent pour choper une bande dont le chef à lui seul vaut un gros paquet de dollars. Enfin, dans le troisième, il est un tireur d’élite « associé » avec un bandit pour un numéro bien rodé : il le capture, récupère la prime correspondante, puis le sauve de la pendaison en sectionnant à distance la corde au dernier moment d’une balle de fusil. Après « quelques » différends, ils obtiennent chacun la moitié des informations qui leur permettraient de mettre la main sur un trésor en or, trésor sur la piste duquel est également un tueur sans scrupules. Ce dernier film se passe pendant la guerre de Sécession, donc a priori avant les deux autres, d’autant que c’est là (mais après environ 2h35 d’un film qui dure un peu moins de trois heures en version longue) que le personnage d’Eastwood revêt le poncho qu’il porte dans les deux autres épisodes (notez toutefois que rien ne dit que les trois films soient réellement liés).
Bref, c’est trois bons films, avec des chouettes musiques d’Ennio Morricone, que j’ai revus avec plaisir.
Presque rien à voir, mais le dernier numéro de l’écran fantastique vintage contient 10 pages sur les western spaghetti. Le reste de ce numéro double est très bon : Ray Harryhausen et l’âge d’or du cinéma fantastique italien.
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