J’ai une nouvelle fois été sollicité pour intervenir comme formateur auprès de l’organisme national de référence.
J’ai une nouvelle fois décliné la proposition. En rappelant que ce n’était pas la première fois (ni même la deuxième, d’ailleurs).
On m’a également demandé d’accueillir de toute urgence un groupe de stagiaires de l’autre organisme national de référence. Pour une date à laquelle ça n’était bien entendu pas possible.
J’aurais pu refuser, pasqu’un groupe de stagiaires, surtout dans ces conditions là, ça risque de me gonfler plus qu’autre chose, mais j’ai quand même proposé deux autres dates. On verra bien.
Ah, et puis j’avais il y a un certain temps accepté d’accueillir une future consœur pour deux journées de stage la semaine prochaine, journées restant bien évidemment à déterminer en fonction de mes propres disponibilités. Ce matin, la secrétaire générale m’a mis en copie d’un échange qu’elle avait eu avec ladite future consœur, où celle-ci, qui n’a toujours pas pris directement contact avec moi, se préoccupait (enfin…) de son stage de mardi et mercredi prochain. Sauf que mardi, je ne peux pas et n’ai pas prévu de l’accueillir. J’attends qu’elle me contacte (faudrait ptêt qu’elle se bouge le derrière), mais ça pourrait ne pas se passer comme elle l’espérait. C’est quand même pas une stagiaire qui va me dicter mon emploi du temps. Et si elle me gonfle trop, je pourrais bien l’éconduire : après tout, avec l’actuelle direction je ne signe plus moi-même les conventions de stage, donc je ne me suis officiellement engagé à rien du tout. Et j’ai suffisamment de quoi m’occuper en ce moment, même sans stagiaire.