Du côté musical, le bilan sera comme d’hab’ plus rapide à faire.
En 2024, on a eu une douzaine de décès notables, dont ceux de Mary Weiss, Wayne Kramer, Dennis Thompson, Doug Ingle, Jack Russell et Paul Di’Anno.
Je n’ai pas tenu le compte des dissolutions et départs en retraite. Au niveau des reformations, Silmarils a sorti un nouvel album (et un bon, en plus), mais leur retour date au moins de 2023 (et je ne crois pas qu’ils s’étaient officiellement séparés).
Au niveau des sorties, ç’aura encore été une année peu faste : 38 disques seulement (en comptant le nouveau Mystery Blue, que j’attends toujours même si j’ai pu l’écouter), dont deux concerts du Blue Öyster Cult et un album de reprises par Lee Aaron, ça nous fait le mirifique total de 35 albums studio, parmi lesquels plusieurs sont bons, mais aucun ne sort suffisamment du lot pour que j’aie pu m’exclamer à son écoute qu’il s’agirait de l’album de l’année 2024.
Donc pour décerner ce titre, après avoir réécouté ces dernières semaines l’essentiel des sorties de l’année, j’ai fini par me décider pour Yesterwynde, de Nightwish :
Son dauphin est Karma, de Myrath. Ces deux disques sont à mon goût un cran au dessus des suivants.
Viennent ensuite, dans l’ordre alphabétique des groupes, les albums d’ADX, Crystal Viper, Judas Priest, Leaves’ Eyes (dont j’attendais mieux), Nightmare (leur premier avec leur nouvelle hurleuse), Riot, Saxon et Visions of Atlantis (qui jouent enfin dans la cour des grands) ; et hors metal, House of Lords.
Pas de découverte musicale cette année ; du moins pas qui soit passée au dessus du niveau de mon radar.
Je vous avais dit que ce bilan serait plus rapide…