Ça s’appelle être dans le déni

Dans le déni de démocratie, plus précisément.
Je parle bien entendu du guignol en costard présidentiel qui nous avait déclaré il y a deux ans que notre vote « l’obligeait ». Ce qui n’est manifestement pas le cas du tout dernier.
Je me demande bien ce qu’on attend pour pendre cet apprenti-roitelet aux grilles de son palais avec ses tripes, mais je ne l’exprimerai pas à voix haute de peur qu’on ne prétende que j’appelle au meurtre.

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