They call him the winner who takes all, and he strikes like thunderball

Mithriel nous présente en vitesse un nouveau scénario obscur (hongrois ?) sorti d’on ne sait où pour Castle Falkenstein.

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Jeu de mots (laid) de saison

J’étais plongé dans mes réflexions qui m’avaient amené à penser aux fameux « pulls moches de Noël » chantés par les Fatals Picards, quand je suis passé à côté d’une basse-cour dans laquelle j’ai avisé une volaille à l’aspect plutôt laid.
Je me suis donc immédiatement demandé si ce n’était pas, avec quelques jours d’avance, une poule moche de Noël

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70/90

(j’ai oublié de vous raconter cette anecdote du boulot hier soir)
Comme je vous l’ai déjà expliqué ici-même, j’ai pris depuis des années sur les conseils de mon camarade Barbare l’habitude de dire septante pour soixante-dix et nonante pour quatre-vingt-dix.
Sauf que la seule personne ou presque avec qui j’emploie ces termes est mon adjointe ; pour la plupart des autres gens, ça me force mais je me contrains à prononcer à la française.
Hier au boulot donc, il fallait vérifier des résultats correspondant à des numéros. Pour aller plus vite, on s’y est mis à deux, mon adjointe et moi : elle me donnait le numéro à vérifier et je lui donnais le résultat, après avoir répété le numéro pour qu’on soit bien sûrs de ne pas faire d’erreur. Et donc, quand c’était un numéro en soixante-dix ou quatre-vingt-dix, quand je répétais, je disais bien entendu septante ou nonante.
Une fois les vérifications terminées, notre avant-dernière recrue, qui se trouvait alors avec nous dans le bureau, m’a demandé : « Vous êtes Belge ? »
Je ne m’y attendais pas vraiment, d’autant que je n’ai pas l’accent belge et que je parle couramment le patois du pays (ce qu’elle a certainement remarqué, vu qu’elle est allochtone, alors que pour les indigènes, ça tombe sous le sens). J’ai bien entendu répondu par la négative… mais ça m’a bien amusé.

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Kro en résumé : The Jack Vance Lexicon

The Jack Vance Lexicon
The coined words of Jack Vance:
From abiloid to zygage

Second Edition
Dan Temianka
Spatterlight
ISBN 978-1-61947-114-6
Copyright © 1992, 1995 and 2016
250 pages

Dictionnaire anglophone des termes inventés par Jack Vance

C’est à réserver aux fans de l’œuvre de Jack Vance. Je pense même que c’est à réserver aux fans plus fans que moi…

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Trucs rôludiques de fin de semaine

Un supplément sur les formes de vie des mondes aux océans gelés.
Ça pourrait m’intéresser, malheureusement l’éditeur ne propose pas d’aperçu, et même à moins de trois dollars, je n’ai pas vraiment envie d’acheter chat en poche.

Fred Sapp nous présente la V.F. du nouveau JdR Conan :

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Fontaine de jouvence

Tout à l’heure à l’usine, je tombe sur mon adjointe en train de nettoyer un matériel à grande eau. Jusque là, rien d’étonnant, c’était prévu. Mais comme je m’étonnais qu’elle porte un équipement de protection individuel dont elle n’avait nul besoin pour cette opération, elle m’a expliqué qu’elle comptait le laver également « pour lui donner une nouvelle jeunesse » (ou peut-être une deuxième jeunesse, je ne me souviens plus exactement). Comme le poids des ans se fait de plus en plus sentir, je lui ai demandé si elle voulait bien faire de même pour moi, mais hélas, elle a refusé…

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Kro en résumé : Midworld

Midworld
Alan Dean Foster
Ballantine Books
ISBN 345-25364-7-150
Copyright © 1975 by Alan Dean Foster
213 pages

Roman indépendant dans la série Humanx Commonwealth

Le roman a pour cadre un monde recouvert (au moins pour ce qui est de la région où se déroule l’histoire) par une forêt d’arbres hauts de plusieurs centaines de mètres, avec des écosystèmes « stratifiés ». Les autochtones (des humains descendant de l’équipage d’un vaisseau arrivé là il y a plusieurs générations, ayant oublié leur origine et dont le mode de vie est primitif) vivent dans la ramure, à plus de 450 mètres du sol (où ils ne vont jamais). Un jour, un engin volant s’écrase avec deux personnes à son bord, et le contact est établi entre les natifs et ces nouveaux arrivants, dont on comprend très vite qu’ils font partie d’une expédition venue (illégalement) exploiter les richesses de la planète qu’ils croyaient dépourvus d’habitants pensants.
Deux autochtones vont faire le long périple qui consiste à ramener les naufragés à leur base. Ceci représente l’essentiel du bouquin, et c’est un peu une succession de flore et de faune inconnues (du lecteur mais pas des autochtones) avec leurs dangers. Ensuite ils arrivent à la base en question, les deux autochtones découvrent que les étrangers exploitent les richesses (principalement végétales, et en particulier une substance permettant de prolonger fortement l’espérance de vie des humains) de la forêt sans aucun respect pour les formes de vie récoltées ni la moindre considération environnementale, ils s’échappent de la base et s’arrangent pour qu’elle soit détruite par les plantes et animaux de la forêt.
Pendant un bout de temps (jusqu’à la destruction de la base, en gros), je me suis demandé si ce bouquin valait vraiment le coup ; pasqu’une excursion dans la nature sauvage, moi j’aime bien ça mais en littérature ça devient assez rapidement pénible en général (surtout quand il s’agit d’écosystèmes extraterrestres dans lesquels l’auteur peut allègrement nous bananer puisqu’on n’en connait rien du tout). Mais la fin s’est avérée assez intéressante, et j’ai trouvé des similitudes avec Blue Planet (à tel point que je pense que ça ferait une lecture utile pour les amateurs de Blue Planet voulant voir comment une nature hostile peut venir à bout d’une installation technologiquement avancée).
En dehors de quelques mots lâchés par ci par là, ça n’a pas beaucoup de rapport avec le reste de la série Humanx Commonwealth : ça pourrait aisément être un roman totalement indépendant, et ça peut certainement se lire comme tel.

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Raiders from the North you ventured far

Je ne serais pas allé chercher du côté de Dungeon Crawl Classics pour jouer de l’historique, même mâtiné de fantastique ; mais voici un supplément pour jouer en Grande Bretagne à l’époque des Vikings.

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Kro en résumé : Somewhere in Time

Boldly Go!
Somewhere in Time
Geoff Bottone
Geoffquest
ISBN : 978-1-7371467-8-0
Copyright © 2025
109 pages

Supplément pour Boldly Go! sur le voyage temporel

On peut choisir la fréquence des voyages temporels (qui peuvent rester quelque chose de rare, comme c’est grosso modo le cas à Star Trek, ou être au cœur de tout), et la méthode utilisée. Les persos peuvent, soit appartenir à un service dédié de Space Fleet (l’équivalent BG! de Starfleet), soit travailler pour une mystérieuse espèce ET s’efforçant de protéger la ligne temporelle, soit être des indépendants : on peut donc, comme mentionné précédemment, faire quelque chose qui n’aura plus aucun rapport avec Star Trek.
Il y a quatre scénarios.
Le premier est destiné à introduire le voyage dans le temps pour des persos membres de Space Fleet.
Le second est l’inévitable scénario de voyage temporel avec des dinosaures (dans un zoo spécial, comme dans une célèbre série de films ayant débuté en 1993).
Le troisième est un scénar d’horreur années ’30. C’est juste un scénar de Ketulu (ou équivalent) dans lequel les PJ débarquent suite à un dysfonctionnement de leur machine à voyager dans le temps. Le voyage dans le temps ne joue strictement aucun rôle dans ce scénario, et les joueurs n’ont aucune raison d’impliquer leurs persos dans l’histoire qui leur est proposée.
Le quatrième, destiné à des persos « indépendants », est particulier : il part du principe que les PJ sont bloqués dans une boucle temporelle dont ils ont déjà essayé plusieurs fois de s’échapper (en se laissant des indices à eux-mêmes au passage) : ça doit pouvoir donner quelque chose d’intéressant.
C’est plutôt un bon supplément, mais il risque d’éloigner nettement le jeu de son modèle startrekkien.

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Kro en résumé : The Guilder Gazetteer

The Guilder Gazetteer
Andrew Peregrine
Toy Vault
Copyright 2017, Toy Vault, Inc.
26 pages

Supplément *.pdf pour The Princess Bride Roleplaying Game

Il décrit l’indique l’île de Guilder.
Sans être extraordinaire, c’est bien fait, et ça peut s’utiliser dans un contexte med-fan’ « classique ».

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