Don’t go

J’ai failli avoir une nouvelle stagiaire ce mois ci (une future consœur actuellement en deuxième année), mais elle a appelé ce matin pour me faire dire qu’elle avait trouvé un stage ailleurs (plus proche de chez elle, je présume).

À vrai dire, je m’en doutais un peu : quelqu’un qui demande un stage en urgence un 25 décembre pour même pas un mois plus tard, pasque l’endroit qu’elle avait initialement prévu ne peut plus l’accueillir, à mon avis elle arrose large dans l’envoi de ses demandes (par courriel, ça ne coûte pas cher), et après elle fait le tri.

Reste que c’est un peu dommage, pasque j’aime bien encadrer les stagiaires. En plus, ça m’aurait changé les idées de mes soucis actuels au boulot, et ça j’en aurais vraiment besoin.

Et puis, quelqu’un qui mentionne sur son C.V. qu’elle pratique le go ne pouvait pas être tout à fait mauvais.
Même si j’ai tiqué en voyant qu’elle présentait ça comme un « jeu de stratégie chinois ». Certes, ce n’est pas faux à la base, mais le go tel que nous le pratiquons en Occident (le pratiquions pour ma part, pasque je n’y ai plus joué depuis au moins vingt ans) nous venant du Japon, on a plutôt tendance à le considérer comme un jeu japonais.

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