J’ai les clés de la baraque, depuis hier matin.
Pour le moment, j’ai juste passé un coup de balai et amené une pleine bagnole de bazar.
L’herbe a été fauchée et ramassée, et le voisin d’en face, un brave retraité à la langue bien pendue, m’a assuré que le terrain était propice au jardinage.
Y a l’électricité, l’eau, en principe le téléphone (il devait être mis aujourd’hui, mais de toutes façons j’ai qu’un seul poste téléphonique alors je n’ai pas pu vérifier), et lundi matin j’aurai le gaz (et donc l’eau chaude…).
Par contre, comme j’ai vaguement dû vous le mentionner au détour d’un ou deux précédents billets… y a pas internet.