Faute avouée est à moitié pardonnée ?

Depuis bientôt dix ans que mon site est en ligne (et même pour des publications hors site), j’ai été pillé à diverses reprises par des individus sans vergogne qui n’ont pas hésité à s’approprier la paternité de ma prose (ou à la republier de telle sorte qu’on puisse croire qu’ils en étaient l’auteur ; voire à la modifier trrrès légèrement avant de la reposter sous leur propre nom).

Vous vous en doutez, c’est une attitude qui me déplait (doux euphémisme), d’autant que je refuse systématiquement aux webmestres qui m’en font la demande l’autorisation de republier mes textes, préférant garder le contrôle de ce que je publie.

Ce soir, je viens de recevoir un msg me demandant la permission de laisser en ligne sur un site nouvellement créé une série d’articles issus de mon propre site, série d’articles qui constitue toute une section du site « emprunteur ».

Il va sans dire que j’ai aussitôt refusé, poliment mais fermement.

Mais je l’aurais sans doute fait avec plus de formes si la demande avait été faite avant, au lieu de me mettre devant le fait accompli.

Je ne sais pas à quoi s’attendait mon emprunteur : peut-être croyait il que le simple fait de demander la permission, même après coup, me ferait changer d’avis ?
Je croyais pourtant avoir été suffisamment clair dans les mentions légales de la page de garde du site. Il va sans doute falloir que je complète ma FAQ…

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