Sans remords ni regrets

Passé cet aprème à mon ancien boulot (pour récupérer une trentaine de kg d’abricots, qui ne devraient pas me durer très longtemps).

Ça fait un peu bizarre de voir un bureau, un siège, qu’on a occupés, tenus, si longtemps, et qui sont désormais devenus étrangers.

Mais pour ce qui est de mes sentiments, le titre de ce billet est on ne peut plus clair.

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