Je vous avais déjà indiqué une critique démontant le lamentable JdR FATAL.
En voici une autre, looooongue (et quand je dis looooongue, c’est un euphémisme).
Apparemment, ce serait une « réédition » d’une ancienne critique ; j’avais pourtant lu l’ancienne critique à l’époque, mais je ne me souvenais pas qu’elle était si longue.
Rétrospectivement… je pourrais aussi me demander pourquoi j’ai perdu une bonne partie de ma soirée à lire ce long texte sur une sombre bouse dont je savais déjà pertinemment que c’est une merde…