Nous n’allons pas vers les beaux jours

Décembre est là.

Et avec lui, son cortège de gros nazes qui surchargent leurs maisons et leurs jardins de kitschissimes guirlandes lumineuses, dans une surenchère à qui créera la plus moche pollution lumineuse (au détriment du mot d’ordre d’économies d’énergie qui, actualité oblige, devrait être dans toutes les bouches).

Jusqu’à présent, je n’étais que marginalement affecté par le phénomène : certes, mes anciens voisins avaient chacun leur guirlande clignotante en façade, mais à part ça, je n’en voyais guère, allant bosser via une départementale en pleine cambrousse suivie d’une rocade urbaine.

Mais maintenant que pour aller à l’usine, je traverse mon petit bled à cinquante à l’heure, j’ai tout le temps d’être agressé par le mauvais goût et l’inconséquence écologique de mes concitoyens.

Ce contenu a été publié dans C'est mon opinion, et je la partage, Les cons, ça ose tout, Pas nette la planète. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Nous n’allons pas vers les beaux jours

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *