Jusqu’à présent, je payais la cotisation annuelle à ma mutuelle en deux fois : la moitié en janvier et l’autre en juillet.
Je recevais deux appels à cotisation, un fin novembre et l’autre en juin, comme ça je ne risquais pas d’oublier. Et chaque appel était accompagné d’une enveloppe que je n’avais plus qu’à affranchir et poster après y avoir glissé mon chèque.
Depuis l’année dernière, on paie toujours en deux fois, mais il n’y a plus qu’un seul appel. Ce qui fait qu’en juillet dernier, surpris de ne rien avoir reçu, je les avais appelés pour savoir ce qui se passait, et avait alors appris qu’il n’y avait plus d’appel de juin.
Cette année, ils ont quand même ajouté à l’appel de cotisation une phrase indiquant que, pour ceux qui n’auront pas choisi le prélèvement automatique, il n’y aura pas de deuxième appel. C’est sympa de prévenir.
Mais conséquence, j’en serai d’une enveloppe… J’aurais bien envoyé mes deux chèques en une seule fois, mais je craignais de me retrouver un peu gêné aux entournures en janvier, mois où traditionnellement il y a beaucoup de cotisations et d’abonnements à renouveler.
Accessoirement, y a pas que la disparition de l’appel de juin : le délai de paiement est bien raccourci. Autrefois, il fallait payer autour du 20 janvier, puis du 10 juillet ; maintenant, c’est date limite premier janvier (ou premier juillet). Et à côté de ça, bien sûr, plus je vieillis et plus ça me coûte cher, alors que je ne suis pas franchement un grand consommateur de soins médicaux.
Enfin bref… Tout ça pour dire que c’est encore un truc « social » dont le côté social est en train de foutre le camp.