Le collègue qui voulait me présenter un de ses amis au prétexte que ce dernier écoute du ardroque a trouvé un nouvel angle d’approche : il me bassine métnan avec Guitar Hero, un jeu qui semble occuper une bonne partie de son temps libre.
Il semble croire que pasque le jeu porte sur des chansons de groupes qui figurent pour une bonne part en plus ou moins bonne place dans ma ziquothèque, ça doit forcément m’intéresser.
J’ai pourtant tenté de lui expliquer, hélas infructueusement, que je préférais écouter les originaux dans toute leur pureté que de les subir massacrés, ralentis et bourrés de fausses notes.
Surtout que pendant qu’un disque tourne sur ma chaîne, je peux affecter (ce qui reste de) mes dix doigts et mes deux yeux à des tâches plus constructives.
Si je voulais vraiment faire des fausses notes et en chier à essayer de déchiffrer des partoches, j’aurais investi dans une vraie guitare…