J’ai passé très récemment une commande auprès d’un petit disquaire chez qui j’ai mes habitudes.
Comme j’avais un avoir à utiliser, et comme ça ne passe pas dans leur système de paiement par internet, j’ai donc dû envoyer un chèque.
Eh bien, non seulement la commande est partie en même temps que mon chèque (que finalement, j’aurais fort bien pu « oublier » de poster, si ç’avait été le genre de la maison), mais en plus, elle contenait un disque supplémentaire en cadeau, d’un groupe italien que je ne connaissais pas (Mainpain), mais qui est fort écoutable.
Voilà qui me conforte, si besoin était, dans l’idée qu’il faut soutenir les petits disquaires (comme les (bonnes) boutiques de JdR, d’ailleurs ; ou comme les librairies du temps où il y en avait de sérieuses) face aux géants de la vente par correspondance ou de la grande distribution culturelle.
Pasque c’est pas chez ces derniers que ce genre de pratiques aurait cours…