Les vétérinaires ont prouvé, en chargeant à l’occasion le sabre à la main, qu’ils sont des cavaliers et des combattants. On leur demande indistinctement de soigner des hommes ou des animaux, de porter des ordres sous le feu ou d’assurer le ravitaillement des troupes d’assaut, de commander un convoi, d’être officiers topographes ou professeurs d’agriculture.
Lieutenant-colonel Mordacq, Les spahis soudanais (1912)