Au fond du trou

Laurent Fignon est mort tout à l’heure, à juste cinquante ans.

Même s’il avait ensuite avoué s’être dopé (comme les autres, mais peut-être moins que certains après lui…), il restait pour moi une grande figure du cyclisme français, souvenir d’une époque révolue où je m’intéressais encore à ce sport et où je n’avais pas peur de faire moi-même du vélo sur les routes malgré les voitures et les camions.

Et même si je le savais malade, je pensais qu’il en avait encore pour nettement plus longtemps (chose que je m’étais dite il y a trois mois à la mort de Dio…).

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