Le livre, un objet comme un autre

Annoter un bouquin, n’en déplaise aux bibliomanes intégristes qui vont hurler à la profanation, ça ne m’a jamais posé de problème ; et pas seulement pour corriger les coquilles ou les fautes d’orthographe.

Mais quand je trouve des annotations de la main d’un autre (forcément…) dans un livre acheté d’occase, je n’aime pas. Surtout quand ça n’est pas au crayon et que donc ça ne peut pas s’effacer (ainsi, j’ai quelques bouquins de JdR qu’un sauvage a stabilotés avant de décider de s’en débarrasser).

Alors tout à l’heure, en recevant un supplément d’occase dont plusieurs cartes avaient été coloriées aux crayons de couleur par un précédent détenteur, j’avoue que je n’ai pas été particulièrement jouasse.
Surtout que l’état du bouquin était décrit comme Very Good +.
Mais ce n’est pas la première fois que je constate que je n’ai pas la même conception des catégories d’état des bouquins que les vendeurs internautes.
Heureusement, ça part à la gomme. Mais il reste des traces…

(ceci dit, j’imagine les hurlées que pourra pousser un collectionneur récupérant certains de mes bouquins quand ils seront bradés par mes héritiers)

Ce contenu a été publié dans J'm'énerve pas, j't'explique, Ma vie est un drame. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *