De la terre plein les sabots

Dehors comme dedans…

D’habitude je laboure avec des chaussures montantes. Mais hier, je me suis dit que, comme j’avais désormais un terrain plat, je n’allais pas m’emmerder et je suis resté en sabots.
J’avais oublié que les chaussures montantes, ce n’était pas seulement pour me tenir les chevilles… Mes chaussettes blanches étaient d’autant plus noires que la terre, déjà forte d’ordinaire, avait été rendue bien collante par les pluies du ouéquande.
Heureusement, c’est parti au lavage…

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